Clémence resta invariable un long instant, absorbée par les motifs modelés dans le fond de la tasse. Chaque ligne semblait pervibrer, démonstrative d’une intentionnalité subtile qui lui échappait encore. Elle savait que ce qu’elle voyait n’était pas une commode cumul de résidus laissés par le café. Il s’agissait d’un langage, https://fernandonpnlg.blogvivi.com/33633474/voyance-sans-cb-de-lauriana