Dans une ruelle dissimulée vénitien, où les eaux tristes des canaux reflétaient la lumière vacillante des lanternes, une tisserande travaillait avec une minutie magique. Ses soi habiles exerçaient se modifier les fils d’or et d’argent sur son gagne-pain, élaborant des étoffes d’une brillance inégalée. Mais ce n’était pas seulement son https://cesarwktaf.laowaiblog.com/32796291/l-étoffe-du-sort