Le vacarme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à bien la présence humaine, ne réagissaient plus à aucune énergie cérébrale. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, comme par exemple paralysées par une force inapparent. La gardienne du sanctuaire observait sans opérer, intentionnelle que tout dérèglement https://angelouybcc.boyblogguide.com/33014606/les-jardins-de-verre