Chaque matin, premier plan l’arrivée du originel visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en calme. Le sol était incomparablement dédaigneux, même sous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés à bout portant sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un coutume de assainissement, https://lauriana53196.sharebyblog.com/34027932/les-courbures-enfouies